MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTE

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VI­GILANCE & AC­TION - N°  451 Juin-Juillet 2023   


LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


LES ÉCOLOGISTES RADICAUX ET L’UTILISATION DE LA VIOLENCE


Communication du MIL du 27 juin 2023


Les «écologistes radicaux et violents» se camouflent derrière les écologistes non-violents au sein de plusieurs associations écologistes.


Il importe de distinguer les personnes qui font usage de leur liberté d’expression au niveau national et local (tribunes, pétitions, manifestations) de ceux qui appellent, utilisent et pratiquent une violence radicale. La frontière entre les deux factions est difficile délimitable car certains qu’on qualifie de non-violents, défendent très souvent, a posteriori, l’utilisation de la violence comme moyen d’expression militante.


Il faut, aussi, distinguer les personnes qui contestent un projet identifié (par exemple la construction du tunnel Lyon Turin) de ceux qui regroupent, volontairement, tous les sujets en mélangeant des éléments avérés et d’autres faux. Tout cela sous le couvert d’un «complotisme vert». La notion d’«inaction climatique» est trouble et non-définissable. Les partisans de la décroissance s’attaquent frontalement à notre société. Ils veulent, notamment, imposer une diminution des activités de production dans l’agriculture, le BTP, les industries et le transport logistique.


Les écologistes radicaux ont recours à la violence sous toutes ses formes, que cela soit contre les biens, les personnes, les représentants de l’État et des institutions, dont les forces de l’ordre. Les exemples sont multiplient : détérioration d’exploitation maraîchère, action menée contre une cimenterie, violents affrontements à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), saccage de serres à Nantes, violences survenues lors de la manifestation contre la liaison ferroviaire Lyon-Turin, contre un projet de carrière à Saint-Colomban, contre le projet d'autoroute A69 entre Toulouse et Castres, agression contre le maire de Toulouse et des élus. La menace d’une écologie terroriste, prônée par certains acteurs et certains auteurs, est présente et réelle en France comme en Europe.


Ce mouvement s’inscrit dans une démarche politique d’inspiration clairement marxiste. En effet, les écologistes radicaux se prononcent contre la propriété privée, contre le progrès scientifique, contre la liberté d’entreprendre (l’initiative), contre la démocratie représentative (les élus) ou la démocratie directe (refus des résultats du référendum sur l’aéroport de Notre Dame des Landes). «Les Soulèvements de La Terre (SLT)» était un «collectif d’associations, de syndicats, de groupements», créé en janvier 2021 dans l’ex-ZAD (zone à défendre) de Notre-Dame-des-Landes, pour organiser des manifestations. SLT auraient compté des militants issus d’organisations écologistes radicales comme Extinction Rebellion, Youth for Climate ou «Bassines non merci» mais aussi la Confédération paysanne, ATTAC, Alternatiba, l'Union syndicale Solidaires. Il disposait de plus de 100 comités locaux.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) condamne la politique menée par Macron vis-à-vis des gauchistes écolos (engagée depuis 2017 avec l’abandon de Notre-Dame des Landes) et les récentes mesures prises par Darmanin. Le principe de prévention des violences n’a jamais été appliqué. La mise en œuvre des poursuites et la prise en charge a posteriori des conséquences interviennent beaucoup trop tard, pour une efficacité inexistante.


Le choix de la dissolution du collectif écologiste «Les Soulèvements de la Terre (SLT)» a été pris beaucoup trop tard par rapport aux faits. Il concerne un «groupement de fait» et va entrainer un long débat juridique sur la validité de cette démarche. Darmanin a décidé d’attaquer le paravent de la violence écologiste gauchiste sans identifier les acteurs dangereux. Le groupement de fait SLT aurait dû être identifié (comptes sur Internet, ses publications, ses messages, les déclarations de ses responsables qui se sont exprimées dans les médias) et contrer de manière claire.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) dénonce le soutien apporté par les partis de la gauche extrême (LFI et EELV) aux écologistes radicaux violents. Les déclarations de soutien aux «Soulèvements de la Terre (SLT)» par des responsables de ces partis politiques sont inacceptables et intolérables. Ils illustrent leur réelle nature politique qui est et restera toujours révolutionnaire et insurrectionnelle. Une grande majorité des parlementaires de tous les autres partis ont condamné les violences qui ont eu lieu. Nous nous trouvons face à un courant politique écologiste radical, très minoritaire dans le pays, qui cherche à imposer sa vision des choses qu’il ne peut pas obtenir par la voie démocratique. Certains médias et certains journalistes participent à cette désinformation.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère la violence politique comme étant inacceptable en France. Pour la contrer, il convient simplement d’appliquer les lois existantes vis-à-vis des personnes qui appellent publiquement à la violence et/ou la pratiquent sur le terrain. Des poursuites doivent être engagées et des condamnations prononcées.



LA FRANCE SOUTIENT SES FORCES DE L’ORDRE


Communication du MIL du 3 juillet 2023


Des émeutes se sont multipliées en France. La sécurité des Français et le maintien de l'ordre n'est plus assuré sur une partie du territoire. La violence des émeutiers répond à une volonté de chaos social. Il y a de très nombreuses destructions de biens, notamment du mobilier urbain, des poubelles, des bus, des tramways, des écoles, des mairies, des bâtiments des services publics. S’y ajoutent des pillages de magasin ou d’hypermarché organisés à partir de mobilisation sur les réseaux sociaux. Des élus locaux ainsi que leurs familles ont été menacés et agressés physiquement. Cela va jusqu’à des tentatives d’assassinats. Enfin, les attaques systématiques et organisées contre les membres des forces de l’ordre viennent s’y ajouter et conduisent à des affrontements à grands risques. Ces émeutiers veulent des morts afin d’amplifier leur mobilisation et faire reculer l’État.


Les habitants de ces quartiers sont les premières victimes de ces émeutes. Ils sont les premiers utilisateurs de ce qui a été détruit (voitures, moyens de transport en commun, écoles, mairies, bibliothèques). À croire que les émeutiers veulent cantonner ces habitants dans leur quartier afin de ne pas être gêné dans leurs différents trafics.


L’ordre républicain doit être rétabli sans attendre. L’État doit mobiliser tous les moyens légaux dont il dispose pour y parvenir. La proclamation de l’état d’urgence sur tous les territoires concernés est une nécessité. Un combat efficace doit être mené contre les émeutiers. Les acteurs de l’État sont naturellement la police nationale, la gendarmerie nationale, les pompiers, les services de santé mais aussi la police municipale qui doit être associée dans cette lutte. Il faut interpeller, sur le terrain même des exactions, le plus possible d’émeutiers. Il faut que la justice les condamne quand les faits sont avérés. Si les effectifs des forces de l’ordre sont insuffisants au vu du grand nombre de points de destruction, alors il faut faire appel à l’armée, comme cela a été le cas pour Vigipirate. La sécurité de tous, pour tous doit être assurée par l’État républicain. Pour cela, il faut qu’il se donne les moyens d’agir.


Les discours en faveur des émeutiers, tenus par des responsables d’extrême-gauche (partis de la Nupes), doivent être dénoncés. Des activistes d’ultra-gauche se mêlent d’ailleurs aux émeutes. Les propos de certains responsables politiques ou médiatiques, incitant ou justifiant la violence, doivent donner lieu à des poursuites lorsqu’il y a incitation à la guérilla urbaine. Heureusement, un très grand nombre d’élus condamne ces violences.


Certains journalistes militants développent l’analyse selon laquelle l’unité nationale est en cause et qu’il s’agit d’une explosion de notre société. L’unité nationale n’est pas en cause. L’état a les moyens d’intervenir, mais pour cela il faut qu’il ait le courage de le faire, quel que soit les risques. L’État a encore trop peur d’une situation à la «Malik Oussekine», les émeutiers en profitent complétement.


Les événements actuels montre bien la présence, en France, de personnes qui rejettent les normes et les règles de notre société et qui refusent l’autorité de l’État républicain. Certains pseudo-experts veulent débattre des motifs des casseurs ou de la nature du profil des émeutiers (adolescents, jeunes ou moins jeunes, islamistes ou non, voleurs ou dealers, sans emploi ou avec, fanatiques de l’émeute ou de la fête urbaine, adeptes de la réappropriation sociale d’extrême gauche).


Seule une réponse claire et nette de l’État, en utilisant pleinement ses forces de l’ordre, doit répondre aux casseurs, pilleurs et émeutiers pour un retour à l’ordre républicain, quel que soit les conséquences.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) réitère son entier soutien aux forces de l’ordre. Des groupes militants alimentent une propagande contre les policiers nationaux et municipaux, les gendarmes, les pompiers, les secouristes. Cette campagne de fond anti-police et antiforce de l’ordre qui traverse la société est animée par les partis d’extrême-gauche et par différents groupes qui leur sont liés (black-blocs, écolo-radicaux, activistes des associations anti-police dans les quartiers). Dépassé, Macron, Borne et Darmanin n’ont pas su décrypter les indices de pré-embrasement après la période des gilets jaunes, du Covid et des retraites.



MACRON EST TOUJOURS DANS UNE IMPASSE


Communication du MIL du 24 juillet 2023


Après une longue période d’incertitude, Macron a finalement réaffirmé sa confiance à la Première ministre, Borne. La composition du gouvernement a été modifiée sans apporter de réels changements. Pour les ministères majeurs, les ministres issus de la société civile ont été remerciés (Pap Ndiaye à l’Education nationale et François Braun à la Santé) en raison de l’absence de résultats significatifs et probants. Les ministres nommés par Macron sont tous des politiques. Ce sont des députés appartenant presque tous au groupe parlementaire macroniste «Renaissance». Un grand nombre est issu de la gauche (ex PS ou PCF) engagé dans le noyau macroniste depuis 2016. Enfin, les ministres, qui font actuellement l’objet de procédures judiciaires, n’ont pas été écartés du gouvernement. Les journalistes qui ont propagés des informations sur les différends Macron-Borne ou sur une négociation entre LR et En Marche apparaissent très clairement comme des opérations d’intox. Mais deux points méritent d’être signalés. D’une part, il existe une tension au sein des macronistes sur les contenus entre les responsables de gauche et ceux issus du centre. D’autre part, les trois partis de la coalition (Horizons, MoDem et Renaissance) se préparent pour l’après Macron en 2027 et cela dès le lendemain des élections européennes de 2024.


Macron se referme sur son noyau initial. Il n’a pas débauché un élu ou une personnalité de la droite républicaine. Ce choix concrétise l’échec de l’élargissement de la majorité macroniste, dont Borne avait été chargée par Macron. Le positionnement d’opposition des parlementaires Les Républicains (LR) semble bien rétabli, suite à la période de division durant le débat sur la réforme des retraites. Par ailleurs, les sondages récents attestent du fait que la séduction de Macron a chuté à droite, en particulier suite aux émeutes qui n’ont été ni prévenu ni limitée, comme elles auraient dû l’être. Le maintien au gouvernement de personnalités issues de la droite ne pèse plus grand-chose compte tenu de l’ancienneté des transferts et des politiques qu’ils doivent assumer (Bruno Le Maire, Gérald Darmanin et Sébastien Lecornu).


Le gouvernement Borne 3 devra faire face à de multiples difficultés. Une baisse des dépenses publiques est annoncée pour tenter de réduire le déficit et la dette. Le Projet de loi de finances 2024 devrait en attester. Des mesures «écologiques» devraient impliquer des dépenses et/ou des contraintes (en fin d’été). Une réponse devrait être apportée à la demande de restauration de la sécurité et de l’ordre républicain. Après plusieurs reports, le projet de loi sur l’immigration devrait être débattu. Ce dernier point parait le plus critique pour Borne, puisque LR menace de déposer une motion de censure si le projet de loi «immigration» n’est pas modifié en profondeur. Or une telle motion de censure conduirait très probablement à la chute du gouvernement Borne 3 et à la mise hors-jeu de Darmanin.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate que Borne et Macron ne peuvent pas mener la politique nécessaire au redressement de la France. Suite à la constitution du gouvernement, Macron a affiché quatre priorités : réindustrialisation et le plein-emploi, amélioration de l’école et du système de santé, plan de la planification écologique et rétablissement de l’ordre républicain. Croissance industrielle et relocalisations font l’objet d’une superbe communication mais sans aucun résultat visible. La situation globale des industries est pénalisée par les fermetures en cours. Début 2023, la situation de l’emploi s’est stabilisée, mais elle devrait se dégrader selon les prévisions avec une hausse annoncée du taux de chômage (croissance minime, multiplication des faillites, etc.). Le contexte politique actuel, marqué par la nécessité de réduire des dépenses et par une majorité relative à l’Assemblée nationale, ne permet pas d’apporter des solutions de fond. Il y aura bien quelques régulations techniques sur les enjeux majeurs de l’Education et la Santé. Quant au rétablissement de la sécurité et de l’ordre, personne ne croit plus le ministre de l’Intérieur dont l’inefficacité a été mise en évidence.


Il y a trop de dossiers qui sont occultés par le gouvernement, notamment : la recherche de l’indépendance nationale, la famille et la natalité, le maintien du pouvoir d’achats, une politique de l’emploi efficace pour assurer le financement des régimes sociaux, la promotion de l’identité française (langue, culture et patrimoine), la lutte efficace contre l’illettrisme et de l’illectronisme, l’absence d’une volonté sérieuse de contrôle de l’intelligence artificielle générative et des réseaux sociaux, un financement suffisant des armées dans le contexte de la guerre en Europe, l’absence d’une vision européenne et internationale claire.


UN MINISTRE DE L’INTÉRIEUR INEFFICACE, DES ÉMEUTES EN FRANCE


Communication du MIL du 17 juillet 2023


Les récentes émeutes sont la traduction logique de la politique de laisser-faire menée par Macron, Borne et Darmanin. Ils n’assurent pas la sécurité et l’ordre public des Français et de la France. Les forces d’intervention semblent ne pas recevoir l’ordre d’intercepter les casseurs et ils n’utilisent pas tous les moyens techniques en leur possession pour le maintien de l’ordre. Depuis des années, le choix politique de Macron a été de ne pas «faire de vague». Implicitement, les forces de l’ordre ont été appelés à ne pas mener une action efficace, dans les villes et les quartiers, vis-à-vis de la délinquance courante (rodéos urbains, vols, agressions, trafic de drogue, etc.) alors que s’il y a une volonté politique, des ordres clairs et un soutien à tous les fonctionnaires, les forces de l’ordre sont en capacité de traiter ces délinquants-voyous. Mais pour cela, il faut que le pouvoir en place se donne les moyens d’agir et cesse d’avoir le syndrome «Malik Oussekine».


Dans ce contexte, un événement ponctuel a suffi à déclencher des émeutes. Les propos de Macron et Borne condamnant, dans leurs discours et sans procès, un policier, avant même l’instruction judiciaire, ont encouragé, par ricochet, plusieurs journées d’émeutes extrêmes. Les émeutes ont été organisées principalement par des délinquants-voyous. Un grand nombre de personne, parmi les milliers d’interpellés lors de ces émeutes, a déjà un casier judiciaire. Ces émeutes ne s’accompagnent d’ailleurs pas de slogans politiques ou idéologiques. Le seul mot d’ordre est l’anti-police. Les émeutiers sont des délinquants déjà identifiés ou en voie de l’être. Ils se sont regroupés au sein de bandes issus de quartier, de connaissances dont certains sont des collégiens très jeunes. Des éléments violents ont choisi de «faire la fête et les courses» avec eux. Enfin, ils ont été rejoints rapidement par des activistes d’ultra gauche, black-blocs habillés de noir, qui ont profité de l’occasion pour s’attaquer à notre société. La composition de ces groupes explique les attaques organisées contre des forces de l’ordre, des commissariats, des préfectures, des services sociaux, des mairies. La nature des émeutiers expliquent les pillages de magasins et de grandes surfaces. La motivation est principalement le vol.


Il ne s’agit pas «d’émeutes ethniques» comme cela a pu exister dans certains pays, même si certaines religions étaient très majoritairement représentées. La gauche de la gauche, en utilisant ces arguments, veut récupérer des soutiens et des voix auprès des populations d’origine étrangère. Cette remarque ne gomme en rien les problèmes majeurs que pose de l’immigration en France et qui nécessitent la bonne assimilation de Français d’origine étrangère, l’expulsion effective des clandestins sans-papiers et le blocage des flux migratoires aux frontières.


Il ne s’agit pas, non plus de «jeunes». Les casseurs ayant participé aux émeutes ne sont pas tous des jeunes. La très grande majorité des jeunes, des quartiers et des villes, n’ont jamais participé à ces violences. Les récents sondages d’opinion mettent en évidence la condamnation des agressions, des incendies, des pillages par les jeunes.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que les violences qui se sont produites ces dernières semaines sont le fait de délinquants-voyous. L’explosion de la délinquance en France, les ghettos dans certains quartiers, le refus d’assimilation et le refus de l’autorité de l’État explique la contestation de l’action des forces de l’ordre, représentant de l’État. Or leur mission est d’assurer l’ordre et la sécurité sur tous les territoires en France. La réponse de l’État doit être des sanctions à l’égard de tous les délinquants. Les textes existent, il faut les appliquer. Mais il faut aussi autoriser les forces de l’ordre à utiliser des moyens d’action en rapport avec les attaques subies car il s’est agi d’insurrections pour voler et casser, en plus de la recherche de faire des morts parmi les forces de l’ordre.


L’extrême-gauche a saisi l’occasion pour demander l’abrogation la loi relative à la sécurité publique visant à assouplir la réglementation sur l'usage des armes à feu pour les policiers (adoptée en février 2017), l'alignant sur celle des gendarmes. Les partis politiques signataires de cet appel sont Europe Ecologie-Les Verts (EELV), La France insoumise (LFI), le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), et le Parti Ouvrier Indépendant (POI), trotskyste lambertiste. Les syndicats signataires sont la CGT et la FSU. Les principales associations sont Amnesty International France, Attac France, le Gisti (Groupe d'information et de soutien des immigrés), Greenpeace France, ou les Comités locaux des «Soulèvements de la Terre».


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate la division de la gauche de la gauche à l’égard des émeutes. D’un côté, La France Insoumise (LFI) s’est refuse à condamner la violence des émeutiers. De l’autre, le PS et le PCF ont pris une position républicaine, imposée par leurs élus locaux, dont les quartiers et les villes ont été touchés par les émeutes. La Nupes va avoir du mal à en survivre. Pour les prochaines élections sénatoriales le PS, le PCF et EELV ont bouclé une alliance, mais sans LFI. De plus, les listes à la proportionnelle pour les européennes de 2024 devraient être séparées.