MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTE

www.lemil.org


Transférer ce texte à une personne

Imprimer cette page

*****


VI­GILANCE & AC­TION - N°  458 Décembre 2023   


LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


Christian Labrousse, président du MIL

le Bureau national du MIL

et le Centre national du MIL                                       


vous souhaitent, ainsi qu'à tous ceux qui vous entourent une bonne santé, de bonnes fêtes, vous assurent de leurs sentiments dévoués, espèrent que 2024 sera pour vous et les vôtres une excellente année et qu'elle soit marquée par, enfin, le renouveau de nos idées et de nos valeurs civiques et gaullistes et par une véritable mobilisation de toutes les énergies contre la gauche sous toutes ses formes et appellations.

Nous appelons de nos vœux l'organisation d'un Rassemblement des Droites pour la République.


PRéSIDENTIELLE 2027 : POUR UN RASSEMBLEMENT DES DROITES AUTOUR D'UN CANDIDAT GAULLISTE


Communication du MIL du 9 décembre 2023


Être de droite se caractérise d'abord par un rejet des forces et des idées de gauche. C'est-à-dire, d'une part, sur un rejet de Macron et de sa politique sociale-démocrate, d'autre part, sur une dénonciation des socialistes toujours à l'affût et, enfin, sur une opposition frontale avec les forces d'extrême-gauche, c'est-à-dire les insoumis, les communistes, les écolo-radicaux, les trotskystes et les diverses ultras gauches.


Les principales convergences qui existent entre les partis politiques représentés au parlement et les divers groupes politiques de droite (micro-partis, clubs politiques, fondation, associations, partis pour la carrière d'un ex-élu) portent sur des adversaires et des ennemis communs. Il faut bien reconnaitre que la droite, à part les gaullistes, n'a jamais eu vocation à disposer d'une idéologie précise et installée. Tout le contraire des gauches socialistes, marxistes, écologistes, qui vivent sur la base d'ensembles idéologiques précis, formulés dans des ouvrages comme déclinés à la tribune de leurs congrès (même si leur contenu est parfois fluctuant en fonction des années et du vent).


La droite est un état d'esprit basé sur la défense de certaines valeurs fondamentales. La droite partage des valeurs communes comme la souveraineté nationale, l'identité française (la tradition, la famille, la culture, la patrie, la nation, la terre et les morts), l'ordre et la sécurité intérieure, la défense des frontières, l'équilibre financier de l'État, l'objectif de la croissance économique du pays et de l'emploi, l'indépendance nationale (agricole, industrielle et énergétique), le contrôle de l'immigration, le rayonnement international de la France. La droite dispose, aussi, des sujets de convergence même si les propositions ou formulations concrètes, des uns et des autres, diffèrent souvent assez fortement.


Mais les partis et les groupes, qui se revendiquent de droite, ont des positions opposées sur des sujets, par exemple : les affaires sociales, les règles qui régissent la société, la politique étrangère de la France. On peut citer la droite gaulliste, civique, patriote mais on peut aussi notamment citer la droite libérale, républicaine, chrétienne, conservatrice, catholique, sociale, démocrate, souverainiste, étatique, populaire, des élus, ouvrière, laïc, protestante ... , sans oublier qu'une certaine partie du centre est de droite. Il y a, aussi, la droite populiste, nationaliste, identitaire, intégriste qui rejette souvent les autres droites.


Les véritables groupes d'ultra-droite extrémistes doivent demeurer hors du jeu car opposés à la République et à ses institutions. Mais il faut, aussi, dénoncer les manœuvres de Darmanin (interdiction de manifester, dissolution, etc.) visant à qualifier d'ultra des groupes qui serait «potentiellement terroristes» alors que la plupart, de toute évidence, ne le sont pas. Les menaces d'origine étrangères qui visent la France sont, d'une part, celle des mouvements islamistes radicaux et, d'autre part, les ingérences étrangères (GAFAM et autres) économiques et/ou politiques (Iran, Turquie). 


Par ailleurs, des électeurs ou des militants de droite ont pu avoir l'occasion de se poser la question d'une éventuelle stratégie politique d'union des droites à rapprocher de l'union de la gauche avec son programme commun. Plusieurs remarques doivent éclairer ce débat. Les partis politiques, relevant de la droite, ne souhaitent pas une union des droites. Il s'agit, souvent, d'une simple stratégie électoraliste pour attirer et récupérer un électorat fluctuant (électoralement parlant) qui souhaite revoir, de leur vivant, un président de droite. Le Rassemblement National (RN), qui regroupe en majorité des nationalistes, s'est engagé dans une conquête solitaire du pouvoir, comme cela a été annoncé par son président. Le refus du RN de discuter avec Reconquête d'Éric Zemmour est réaffirmé à chaque fois. Les récentes attaques de certains députés RN demandant la dissolution des groupes de militants dont certains se revendiquent identitaires et sont proches de Reconquête et de Génération Z, le montre bien. Reconquête, qui regroupe en majorité des identitaires, prône l'union des droites mais il n'a jamais appelé à voter pour des candidats RN ou LR au second tour lorsqu'il n'était plus présent sauf dans un tout petit nombre d'élection pour, parfois, des candidats en phase de ralliement.


La première difficulté est de déterminer qui profiterait d'une telle union des droites. Ensuite, il faut définir qui sera le chef et qui seront les supplétifs. Aujourd'hui, comme demain, Les gaullistes de droite ne seront jamais des supplétifs, donc, il n'y aura jamais d'une telle union.


Les Républicains (LR), qui regroupe en majorité des patriotes républicains dont un grand nombre sont gaullistes, n'ont jamais évoqué la perspective d'une union des droites mais parlent de l'union de la droite et du centre. Il s'agit là d'un pas vers le rassemblement des droites et du centre similaire au RPF ou au RPR.


Un programme commun entre ces partis semble impossible à établir car les orientations sont clairement différentes. Même si certaines thématiques peuvent sembler leurs êtres communs (sécurité/immigration). La nature des prochaines échéances électorales empêchera une éventuelle union. Lors des élections européennes de juin 2024, les différents partis présenteront des listes concurrentes pour avoir du financement, des élus (qui recevront une indemnité importante et le moyen de rémunérer des collaborateurs) et jauger leur poids. Encore là, aucune union n'est possible car les élections européennes sont à la proportionnelle. Les élections municipales, aussi, ne se prêteront aucunement à une union au premier tour, compte tenu de la position des élus sortants, sauf exceptions.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se revendique donc d'être une association qui regroupe la droite gaulliste, civique et patriote et qui a toujours été au carrefour des droites sans jamais se présenter à des élections, ses membres, depuis la création, sont très majoritairement non adhérent, ou ancien adhérent, d'un parti politique (à 60%). Aujourd'hui, 37.6% indiquent être actuellement adhérent de LR, 2.4% indiquent être adhérent d'un autre parti (RN, RE, UDI et DLF). Il faut maintenir et développer un dialogue entre tous à l'exception des anti-gaullistes d'hier et d'aujourd'hui. Mais ce dialogue ne peut être qu'un dialogue et non une entente, ni un programme commun, ni une union. Pour l'élection présidentielle de 2027, chaque famille politique présentera son propre candidat et au second tour comme au premier, les Français seront libres de choisir le candidat le plus capable de défendre et de redresser la France. L'objectif de Macron et des gauches, est de promouvoir pour l'élection présidentielle, comme à chaque fois, une candidature d'ultragauche et une candidature nationaliste et identitaire afin de se faire élire par défaut au deuxième tour et de continuer l'action de destruction des valeurs fondamentales de la France.


La priorité du Mouvement Initiative et Liberté (MIL) demeure le combat contre la gauche social-démocrate et contre la gauche marxiste, tout en défendant des valeurs gaullistes de droite. Nous sommes le gaullisme au carrefour des droites, c'est-à-dire le Rassemblement du peuple Français.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) souhaite qu'un candidat gaulliste puisse, en 2027, rassembler un maximum de Français pour remporter cette élection. Il pourrait engager une nouvelle période politique. C'est pourquoi nous prônons un rassemblement des droites en faveur d'un candidat gaulliste, si possible issu de la droite républicaine, dès le premier tour pour qu'il l'emporte au second d'une manière claire.  



CÉRÉMONIES DU 5 DÉCEMBRE 2023 : LE DEVOIR D'Y PARTICIPER


Communication du MIL du 5 décembre 2023


Le président de la République, Jacques Chirac, a institué une journée «d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie, les combats du Maroc et de la Tunisie» le 5 décembre de chaque année (décret du 26/09/2003).


Le choix du président Jacques Chirac, ancien officier français, de ne pas retenir la date du «cessez-le-feu du 19 mars 1962», et de choisir le 5 décembre, avait vocation à tenir compte, légitimement, du fait historique que les combats ne prirent pas fin le 19 mars et firent après cette date encore de très nombreuses victimes parmi la population européenne, parmi les harkis et leur famille, qu'ils furent massacrés en très grand nombre pour avoir choisi la France.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) appelle les anciens combattants (harkis, engagés ou appelés) et tous les patriotes à célébrer nos morts dans la dignité et la certitude des justes combats auxquels ils ont participé.


Ces commémorations du souvenir font l'écho de la permanence de nos valeurs et de l'engagement de nos soldats. Elles sont un acte de mémoire.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) dénonce, par ailleurs, tous ceux (antimilitariste, libertaires et gauchistes) qui critiquent l'engagement de nos soldats et qui préconisent un retrait de nos troupes partout dans le monde et la dissolution de notre armée.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL), qui était présent en force ce jour-là, reprend l'intégralité de la déclaration prononcée par Jacques Chirac, Président de la République (1995-2007), à l'occasion de l'inauguration du mémorial national de la guerre d'Algérie, des combats du Maroc et de la Tunisie, à Paris le 5 décembre 2002.


« Quand le bruit des armes s'est tu depuis longtemps, quand les plaies se sont lentement refermées, non sans laisser de profondes cicatrices, alors, vient le temps de la mémoire et de la reconnaissance.


Aujourd'hui, au nom de tous les Français, je veux rendre l'hommage de la nation aux soldats morts pour la France en Afrique du Nord, il y a presque un demi-siècle. Ils furent plus de 22.000. Je veux saluer, avec ferveur et gratitude, leur dévouement, leur courage, leur jeunesse sacrifiée. Je veux dire à leurs familles meurtries que nous ne les oublierons jamais. C'est le message que porte ce mémorial national de la guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie.


Comme la loi du 18 octobre 1999, votée à l'unanimité, ce monument était attendu par beaucoup de nos compatriotes. Il signifie que les soldats d'Afrique du Nord occupent enfin, comme leurs aînés de 1914 et de 1940, la place qui leur revient dans la mémoire de notre patrie.


Soldats de métier, combattants volontaires, Français musulmans engagés dans les forces supplétives, appelés et rappelés du contingent : tous ont connu les mêmes épreuves. Tous ont lutté pour le même idéal au service de la République et au service de la France.


Près d'un million et demi d'appelés et de rappelés ont participé à la guerre d'Algérie. Ils formaient l'essentiel des effectifs. Ces hommes, jeunes, grandis à l'ombre de la deuxième guerre mondiale dont ils avaient enduré les souffrances et les privations, ont, à l'orée de leur vie adulte, connu l'épreuve d'une autre guerre.


Leur existence en a été marquée pour toujours.


Il y a eu la découverte de paysages grandioses et rudes. Les couleurs et les rythmes de terres familières et lointaines. Il y a eu la mission impérieuse de protéger des populations qui faisaient confiance à la France. L'isolement des unités dans le Djebel. L'alternance de l'attente et des combats soudains contre un ennemi imprévisible, insaisissable. Il y a eu l'expérience de la souffrance, de la mort, de la haine. De retour en France, beaucoup, qui avaient servi avec honneur, ont porté seuls le poids de cette guerre dont on ne parlait pas, et qui a laissé de profonds stigmates dans notre mémoire nationale.


Les Harkis, les membres des forces supplétives, qui ont tant donné à notre pays, ont également payé un très lourd tribut. À eux, à leur honneur de soldats, à leurs enfants qui doivent trouver toute leur place dans notre pays, la France adresse aujourd'hui un message tout particulier d'estime, de gratitude et d'amitié.


C'est autour de ces soldats de toutes armées et de toutes armes que nous nous recueillons, loin des polémiques et des passions. Tous sont unis dans notre souvenir. Tous ont leur place dans le cortège glorieux des fils de France qui se sont illustrés sur tous les continents et ont servi notre pays aux heures les plus tragiques de son histoire.


Tous les soldats tombés en Afrique du Nord, tous ceux que nous avons pu identifier, ont leur nom sur ce monument du souvenir placé au centre de Paris. Aucun ne doit être oublié. Et je remercie les associations d'anciens combattants qui, avec le ministère de la Défense, ont accompli les longues et patientes recherches nécessaires à cette œuvre de mémoire.


La liste qu'ils ont établie n'est pas close. Elle suscitera peut-être des témoignages qui permettront de la compléter et de rendre ainsi justice à des héroïsmes méconnus.


À côté de ces noms de valeureux, que nous arrachons à l'oubli pour les rendre à l'histoire, nos pensées vont aussi aux victimes civiles, à ces femmes et à ces hommes qui ont tant contribué à l'œuvre de la France outre-mer, ainsi qu'à tous les soldats inconnus de cette guerre, et notamment aux membres des forces supplétives tués après le cessez-le-feu en Algérie et dont beaucoup n'ont pas été identifiés. Tous ont droit à notre fidélité et à notre reconnaissance.


Quarante ans après la fin de la guerre d'Algérie, après ces déchirements terribles au terme desquels les pays d'Afrique du Nord se sont séparés de la France, notre République doit assumer pleinement son devoir de mémoire.


Au-delà des ombres et des lumières. Au-delà de la mort et des souffrances, elle doit garder vivante la mémoire des deux millions de soldats qui ont combattu, de tous ceux qui ont été tués ou blessés. Fidèle à ses principes et à son histoire, elle associe dans un même hommage ses enfants de toutes origines morts pour la France.


Honneur à leur courage et à leur sacrifice !


Honneur aux soldats d'Algérie, du Maroc et de Tunisie !


Vive la République !


Et vive la France ! »



LOI IMMIGRATION VERSION LR - UNE ÉTAPE RÉUSSIE


Communication du MIL du 20 décembre 2023


Les macronistes et Les Républicains sont arrivés à un compromis aux termes des travaux de la Commission mixte paritaire (CMP). La Loi sur l'immigration a été adoptée le 19 décembre 2023, d'abord au Sénat, puis à l'Assemblée nationale par une large majorité de 349 députés votant pour et 186 contre. Adoptée donc à la majorité absolue à l'AN. Dans le détail, les partis macronistes et LR ont obtenu une majorité (261 voix) et ils ont reçu le soutien du RN (88 voix). Si le RN avait voté contre, il aurait manqué 7 voix pour faire adopter la Loi (différentiel de 13 voix).


Une série de mesures positives figurent dans la loi, comme la discussion annuelle des plafonds migratoires (quotas), un cadrage de l'immigration étudiante, un rétablissement du délit de séjour irrégulier, la déchéance de la nationalité des binationaux coupables d'homicide sur un dépositaire de l'autorité publique, la fin de l'automaticité du droit du sol pour les enfants nés en France de parents étrangers (ils devront manifester leur volonté de devenir Français avant leur majorité), un délai de cinq années de résidence pour les étrangers sans emploi avant l'accès aux prestations sociales non-contributives. Malheureusement, la régularisation des travailleurs sans papiers demeure plus facile que précédemment avec la circulaire Valls. Les dispositions de réforme de l'AME (Aide Médicale d'État), prévue par les sénateurs, a été renvoyée à un débat dès le début 2024 suite à l'engagement écrit de la première ministre qu'elle a adressée au président du Sénat.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que Les Républicains ont fait la preuve de leur poids politique au parlement. Le sénat, dont la majorité est à droite, a mis au point une version bien améliorée du projet de Loi initial. A l'occasion de la Commission mixte paritaire, ils ont négocié un texte de compromis avec les macronistes reprenant une part des apports de la version sénatoriale. Les présidents des groupes parlementaires LR, Olivier Marleix et Bruno Retailleau, de la secrétaire générale de LR, Annie Genevard, et du Président Éric Ciotti, ont réussi une belle opération.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que la version définitive de la Loi n'est pas parfaite, mais elle constitue une avancée positive de ce qui doit être menée en matière de contrôle de l'immigration. Il faut prendre cette Loi comme telle.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que le clan MBD (Macron, Borne et Darmanin) a introduit une division profonde au sein du camp Macroniste pour faire aboutir un texte qu'il jugeait majeur. Les parlementaires les plus à gauche n'ont pas voté la loi, 27 ont voté contre le texte de la CMP et 32 se sont abstenus. Ces 59 députés représentent près du quart de la coalition macroniste. Le ministre de la Santé (ex communiste) a démissionné pour ne pas avoir à soutenir en 2024 la future loi de réforme de l'Aide Médicale d'Urgence (AME). D'autres responsables devraient s'éloigner de la majorité dans la perspective des élections européennes de 2024 et de la présidentielle de 2027.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge excessif les réactions des responsables de la gauche de la gauche (socialistes, écolos, insoumis et communistes) et les termes employés par ceux-ci sur l'adoption de cette loi. Par exemple, Mélenchon a affirmé que «le nouveau macronisme a pris le train piloté par l'extrême droite» alors que le RN n'a pas été un acteur de la rédaction de cette Loi. Enfin, les diverses organisations de soutien «aux étrangers sans papiers» et/ou participant à l'accueil des «migrants irréguliers» se sont mobilisés et vont continuer à le faire tout en bénéficiant de certaines subventions publiques, il faut que l'État cesse de subventionner ces structures de soutien aux clandestins.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) suivra avec une grande attention la version finale du texte, après son passage devant le Conseil constitutionnel. Borne a elle-même a déclaré que plusieurs mesures pouvaient être contestées sur le plan constitutionnel, alors que c'est elle qui vient de faire voter le texte. Sa déclaration illustre sa volonté de ne pas appliquer ce texte. Il faudra, aussi, observer le contenu précis des mesures réglementaires et être attentif aux instructions données aux Préfets ainsi que l'application locale des mesures de régularisation. Il existe beaucoup d'incertitudes quant à la mise en œuvre réelle du texte de Loi sur l'immigration.