MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTE

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VI­GILANCE & AC­TION - N° 332  FéVRIER 2016           



Chère Madame, cher Monsieur,

 

Nous le disons chaque année, et nous le répétons cette année encore : Nous avons besoin de vous, de votre soutien.

Soyons encore plus précis : s'il est vrai que nous avons besoin de votre approbation, de votre sympathie, de votre soutien moral, de votre militantisme, il est non moins vrai que nous avons aussi besoin de votre cotisation et de votre don.

En fait, vous savez bien, sans qu'il soit nécessaire de donner de longues explications, qu'un mouvement comme le nôtre, ne peut pas vivre de l'air du temps et que le «nerf de la guerre» est nécessaire pour nous permettre de mener le bon combat comme nous le faisons en permanence, même si nous ne communiquons pas sur toutes nos actions militantes.

Mais, de notre côté, nous savons aussi qu'il est très facile d'oublier de remplir cette formalité annuelle du renouvellement de cotisation si, le moment venu, on ne nous rappelle pas les échéances.

Si vous êtes à jour de cotisation, alors vous êtes en possession de la carte 2016, sinon c'est que vous n'êtes pas à jour de cotisation pour le MIL en 2016.

Si vous possédez la carte 2016 du MIL, nous vous encourageons à faire un don au MIL que vous pourrez déduire de vos impôts.

Adhérer au M.I.L, soutenir financièrement le M.I.L, c'est s'engager dans un mouvement qui n'a pas d'équivalent et qui remplit pleinement sa mission au niveau national.

Le M.I.L présente cette particularité de rassembler des citoyens de tous âges et de tous les milieux, «le métro à six heures du soir», comme disait Malraux, qui partagent nos valeurs au premier rang desquelles la liberté et la responsabilité. Le M.I.L est, très nettement, la seule association civique, gaulliste et patriote à pouvoir encore exercer une influence militante au niveau national. Qui plus est, c'est la seule qui, par la netteté de ses positions et par la vigueur de son action, s'oppose efficacement à la mainmise de la gauche et de l'extrême gauche, sans rechercher des postes ou bien des avantages.

Nos campagnes pour la défense des valeurs gaullistes, pour la défense de la France et de notre identité nationale, contre la gauche, contre le port de la burqa, contre l'immigration, contre le droit de vote aux étrangers, contre la dépénalisation de la drogue, contre le mariage homosexuel, contre l'islamisme, contre les terroristes… sont là pour témoigner de nos actions.

Ainsi, en 2015 comme dans les années précédentes, nous avons, notamment, publié 22 journaux, 92 communication et lancé 25 campagnes militantes.

Vous le savez, le M.I.L s'engage en permanence, mais aussi, avec une particulière intensité, à l'occasion de toutes les élections nationales afin d'essayer d'assurer la victoire de la droite. Nous pouvons même dire, sans forcer les termes, que nous avons joué un rôle important plus particulièrement lors des élections présidentielles depuis 1981. En 2015 comme en 2014, les militants du M.I.L ont participé très activement aux différentes élections.

Si nous pouvons agir avec une telle efficacité sur de nombreux terrains, c'est que le M.I.L est essentiellement un mouvement de militants, de bénévoles. Il ne vivrait pas sans le dévouement inlassable de ses membres, qui consacrent à notre cause beaucoup de temps et d'efforts.

Nous avons besoin de votre soutien car le M.I.L est le dernier pôle militant gaulliste patriote désintéressé. Il est essentiel pour la France de maintenir, de développer cette «certaine idée de la France» et qu'on puisse continuer à voir sur les murs de France des croix de lorraine.

La France a besoin de notre capacité militante, mais aussi de notre fidélité à nos engagements et de notre sens de l'Etat. Nous savons par expérience que pour pouvoir, le moment venu, fournir un effort à la hauteur des enjeux, nous ne devons pas nous en remettre à l'improvisation. Nous devons pouvoir compter sur une organisation forte, en ordre de marche. Cela se prépare et c'est pourquoi nous avons besoin des moyens que vous pouvez nous fournir.

Je vous invite, si vous ne l'avez pas encore fait, à re-nouveler votre cotisation au M.I.L. et, aussi, à nous soutenir financièrement. Nous avons besoin de votre soutien pour lancer de grandes campagnes militantes nationales contre la gauche.

 Soyez assuré(e), chère Madame, cher Monsieur, que nous faisons le maximum pour défendre la France et lutter contre la gauche.

 
Le Secrétaire Général du MIL



Le MIL a déménagé depuis fin 2014

au 34 rue Emile Landrin 92100 Boulogne-Billancourt - Téléphone : 01 84 19 54 50

Site internet : www.lemil.org - Adresse de courriel : m.i.l@lemil.org


LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


POUR BATTRE HOLLANDE EN 2017, IL FAUT REMOBILISER LES MILITANTS ET L'ACTION MILITANTE

Communication du MIL du 5 janvier 2016

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) constate que la victoire des Républicains aux élections régionales de fin 2015 a été acquise de justesse et estime que l'une des raisons de ces résultats décevants provient du refus de certaines équipes régionales de jouer à fond la carte du militantisme en n'ayant pas choisi de mobiliser les forces de la droite républicaine, dont nos militants.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) estime que la communication virtuelle est évidemment incontournable, mais qu'elle n'est pas suffisante. Elle constitue un étage dans la construction d'une communication politique. Il faut être en mesure de mobiliser des militants politiques pour intervenir sur le net et les réseaux sociaux, mais, aussi et surtout, pour les tractages, les boîtages, l'organisation pratique des réunions, l'affichage ou le porte-à-porte, etc.

Pour donner un exemple récent et significatif, la réussite de la «Manif pour tous» a été principalement due à la mobilisation de militants associatifs et politiques.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) juge que la communication politique repose d'abord et avant tout sur les idées et les valeurs défendues, puis, sur leur mise en forme, et, enfin, sur leur formulation par un orateur de talent qui peut donner confiance aux citoyens et les convaincre.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) constate qu'à ce jour, toutes les idées nécessaires à assurer une alternance politique au socialisme n'ont pas encore été exposées et que le porteur de ces idées n'a pas encore été désigné. La primaire de la Droite et du Centre aura lieu fin novembre 2016.

Le Mouvement Initiative et Liberte (M.I.L) apportera, à la future campagne politique, la participation de ses équipes de bénévoles. Ces bénévoles donnent de leurs temps et de leur personne. Il s'agit d'actes patriotiques et civiques ayant comme seule ambition de servir leur pays en défendant le meilleur choix pour celui-ci.

Déjà en novembre 2013, le Mouvement Initiative et Liberte (MIL) avait choisi comme thème de sa XXIIIème Convention nationale «Sans militants de droite, pas de reconquête de la France». Ce mot d'ordre reste d'actualité.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) sait que, dès ce début 2016, il convient de préparer cette montée en charge d'une organisation militante efficace par des campagnes nationales :

-pour affirmer une vision politique et prospective d'inspiration gaulliste,

-pour témoigner de notre totale opposition à la politique du gouvernement socialiste (fiscalité, emploi, famille, école, immigration, etc.), mais aussi,

-pour contribuer à combattre tout soupçon de collusion entre la droite et la gauche socialiste.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) mènera des campagnes militantes de défense de la France et des valeurs gaullistes, civiques et patriotiques en marge des débats qui vont avoir lieu en vue des «primaires» de la droite et du centre, afin d'être prêt pour le véritable combat contre la gauche et pour participer à créer les conditions d'une véritable alternance.


EMPLOI : HOLLANDE AGITE DES CHIFFONS ET NE FAIT RIEN

Communication du MIL du 18 janvier 2016

Repères : François Hollande vient d'annoncer, le 18 janvier 2016, les orientations d'un « plan d'urgence » en matière d'emploi lors d'un discours devant le Conseil économique, social et environnemental (CESE). Ces annonces restent à concrétiser dans les mois qui viennent à divers niveaux.

Le taux de chômage en France est à 10,6%, ce taux est supérieur à celui de l'ensemble des pays de l'Union européenne. Il est clair qu'il y a une absence de perspectives pour une diminution significative du nombre de demandeurs d'emploi pour l'année 2016.

L'absence de résultats en France depuis 2012 provient des choix économiques qui ont été faits par les gouvernements socialistes. Les dépenses publiques ont continué à progresser, en dépit du déficit, entrainant une forte augmentation de la pression fiscale ‎sur les particuliers en général, avec une concentration de la pression fiscale sur les classes moyennes conduisant à une absence de moyens et de confiance. Cet état de fait a débouché sur la baisse du recours aux services à la personne, sur la diminution du marché du logement neuf, etc. Le gouvernement n'a pas remis en cause sa politique fiscale et ses choix budgétaires en dépit de mauvais résultats alors que de nombreux facteurs extérieurs permettaient de sortir de la crise : baisse de l'euro, baisse du prix du pétrole, conditions financières favorables, etc.  

Le gouvernement ne revient pas sur ses erreurs politiques et poursuit la voie d'un «traitement social» du chômage plutôt que celui d'un «traitement économique» visant à la création d'emploi. 

-L'objectif de formation de 500.000 chômeurs en 2016 vise avant tout à réduire les chiffres du chômage en inscrivant en formation des demandeurs d'emploi. Ce choix, s'il se concrétisait, conduirait à réduire fortement l'accès des salariés à la formation professionnelle en fléchant les crédits de formation en priorité sur la formation des demandeurs d'emploi.

-La prime de 2.000 € versée aux entreprises de moins de 250 salariés pour les embauches (pour des bas salaires) ne déclenchera aucune embauche. Le montant de la prime, inférieure à 1/10ème d'une année de salaire, ne déclenchera pas une embauche !

-La transformation du CICE en «baisse définitive des charges sociales» mettra du temps à pouvoir devenir effective. 

-L'augmentation du nombre de contrats de professionnalisation (contrat d'alternance) à un seuil de 50.000 bénéficiaires, reste à concrétiser.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que François HOLLANDE porte la responsabilité d'un échec grave en matière d'emploi sur la durée de son quinquennat. 

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime nécessaire de mettre en place une autre politique économique et sociale dès l'alternance de 2017.


LE SCANDALE DE LA DéGRADATION DE LA STATUE DU GéNéRAL DE GAULLE à CALAIS

Communication du MIL du 24 janvier 2016

Repère : Le 23 janvier 2016, plus de 2.000 militants d'extrême gauche, français, mais aussi, britanniques, italiens et belges ont organisé une manifestation en faveur du passage en Grande-Bretagne de milliers de clandestins qui ont installé un campement sauvage, dit de la «jungle de Calais», dans l'attente de pouvoir traverser la Manche. Parallèlement à cette manifestation, des militants de l'organisation altermondialiste d'ultra-gauche du mouvement «No Border» et des «antifas» ont souillé la statue représentant le Général de Gaulle et son épouse par des tags d'insulte : «Nik la France».

 Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) dénonce cette grave dégradation du monument qui constitue une attaque outrageante à l'encontre des symboles de la France.

En vandalisant cette statue commémorative, ces militants d'ultra-gauche ont volontairement insulté la mémoire du général de Gaulle et, par conséquent, les Français dans leur ensemble.

D'une manière plus générale, les dégradations commises à l'encontre des bâtiments et monuments publics sont inacceptables et leurs auteurs doivent être sévèrement sanctionnés.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) constate l'absence de réaction et d'intervention du gouvernement socialiste suite à cet acte insupportable et réclame une réponse ferme.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) appelle à une réaction officielle et au rétablissement de l'autorité de l'État, et l'utilisation des moyens, dont ceux fournis par l'état d'urgence, pour arrêter les auteurs de ces dégradations.

La dégradation d'une statue du Général de Gaulle ne mérite-t-elle pas, aux yeux du gouvernement socialiste, la même attention que le saccage d'une salle de prière ?

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) demande l'interdiction des mouvements d'ultra-gauche impliqués qui incitent les clandestins de Calais aux actions violentes (attaques du port de Calais, blocage des axes routiers, agression des forces de l'ordre, etc.) et à la haine contre la France et ses représentants.

Le mouvement d'ultra-gauche «No Border» réclame «l'abolition des frontières» et la libre circulation des personnes. Il multiplie donc les actions illégales et violentes contre les personnes et les biens depuis assez longtemps.

Ces militants agissent en pleine collusion de fait avec les passeurs qui tentent de faire gagner la Grande-Bretagne aux clandestins. L'étanchéité de la frontière établie progressivement depuis plusieurs mois accentue chaque jour davantage le risque vital du passage en force prôné par les passeurs et les militants d'ultra-gauche. Un terme doit être mis à la présence de ces militants et de ces passeurs à Calais.

Le Mouvement Initiative et Liberté (M.I.L) réaffirme enfin la nécessité d'expulser les clandestins en situation irrégulière vers leur pays d'origine, avant que la situation ne dégénère davantage sur le site de Calais vers des drames individuels ou collectifs.


EXPLOSION DE LA MIGRATION DES CLANDESTINS, LA DROITE RÉPUBLICAINE DEVRA AGIR EN 2017

Communication du MIL du 25 janvier 2016

Repères : le Forum économique mondial de Davos vient de rendre public son rapport «Global Risks» issu d'une enquête, menée auprès de 750 experts, qui visait à recenser les principaux risques mondiaux pour les dix prochaines années. Elle retient comme premier risque «le plus probable» les migrations «à grande échelle» et relève que ce risque présente l'un des plus forts impacts sur nos pays, à côté d'autres risques étant liés au changement climatique, aux armes de destruction massive, etc.

Il faut constater la forte montée de la pression migratoire, en cours depuis plusieurs années, qui se concrétise par un afflux de ressortissants étrangers de pays hors Union européenne (ou pays européens associés à l'Union) dans l'Union européenne, puis en France.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère que nous sommes entrés dans une nouvelle phase de très forte migration avec, d'une part, le développement des communications et de l'information, et, d'autre part, l'explosion économique de l'activité des «passeurs», qui est le trafic d'êtres humains. La croissance du nombre d'étrangers non francophones (Afghans, Pakistanais, Syriens, Irakiens, Soudanais, Érythréens, etc.) ajoute l'obstacle de la langue aux problèmes culturels et de pratiques religieuses.

L'arrivée des étrangers en France prend deux formes distinctes :

-Des étrangers en situation illégale, ayant pénétré dans un quelconque pays de l'Union européenne, puis, ayant gagné la France sans faire l'objet d'un contrôle réel à la frontière française. Les milliers d'étrangers qui campent actuellement autour de Calais (Communication du MIL du 13/11/15 «Calais : Clandestins migrants hors de France» symbolisent cette réalité. Il est difficile d'établir leur nombre en France mais il est estimé à des centaines de milliers de clandestins.

-Des étrangers entrés en France en situation légale, comme des touristes, des travailleurs, des étudiants, des demandeurs d'asile, etc., dont une part importante au moins se trouve à un moment donné en situation irrégulière, car en fin de séjour touristique, en fin de contrat de travail, en fin d'études ou connaissant un refus de leur demande d'asile. Ces étrangers connus (compte tenu de leur situation antérieure) ne font généralement pas l'objet d'une obligation au retour (via un entretien, une lettre sur leur situation, etc.) ou de procédures d'expulsion.

Une autre part des étrangers, de pays hors UE, séjourne, bien entendu, en France de manière tout à fait légale.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que l'augmentation massive de ces clandestins intervient dans un contexte national difficile caractérisé par une situation de chômage de masse, par une crise budgétaire des régimes sociaux, par la présence d'une population étrangère, et/ou d'origine étrangère, qui, pour une part au moins, est peu intégrée à la société française et faiblement assimilée, etc.

De plus, la France reste dans une situation de croissance de sa population (66,6 millions à fin 2015). Elle ne connait pas la crise démographique qui atteint certains de nos voisins européens.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) condamne la politique menée par le gouvernement socialiste qui ne répond pas à l'urgence de la situation actuelle en matière d'immigration.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) estime que des mesures devront être prises et faire l'objet d'une communication internationale, dès l'alternance de 2017, pour empêcher l'arrivée de clandestins aux frontières de la France (et de la zone Schengen), pour supprimer l'accès attractif à des avantages sociaux ou la scolarisation, pour repérer les étrangers en situation irrégulière, pour organiser le retour de ces clandestins avec leur accord ou en ayant recours à des expulsions.


PROFONDE FRACTURE DE LA GAUCHE AVEC LA DÉMISSION DE TAUBIRA

Communication du MIL du 27 janvier 2016

Repère : La garde des Sceaux, Mme Christiane TAUBIRA, opposée au projet de loi constitutionnelle concernant la constitutionnalisation de l'état d'urgence et la déchéance de nationalité, a remis sa démission à François Hollande le 27 janvier 2016. Ce départ coïncide avec le moment même où le débat sur la révision constitutionnelle s'ouvre à l'Assemblée nationale, aujourd'hui, en Commission des Lois.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se félicite de la démission de Mme Christiane TAUBIRA du gouvernement conduit par Manuel VALLS.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) analyse la démission de la ministre de la Justice comme le signe d'une rupture profonde au sein de la gauche socialiste entre :

-d'une part, l'orientation sociale-démocrate emmenée par Manuel VALLS et Emmanuel MACRON

-et d'autre part, les forces favorables à une «union de la gauche» conduite par Jean-Christophe CAMBADELIS (premier secrétaire du PS), Benoit HAMON, Martine AUBRY, etc.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) rappelle que l'ancienne ministre aura défendu au gouvernement les positions les plus marquées à gauche, en tenant un discours profondément et constamment idéologique.

En particulier, elle aura mené un rôle majeur dans l'adoption de la loi relative au mariage homosexuel, que nous avons longuement combattu et que nous combattons toujours.

Christiane TAUBIRA a également contribué à ce que des tensions permanentes existent entre la police et la justice.

Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) juge que, suite à cette démission, le soutien politique et parlementaire à l'actuel gouvernement socialiste se trouve réduit de manière significative.

La capacité de celui-ci à faire adopter d'ici à 2017 des textes de loi en phase avec ses annonces politiques, par exemple sur la réforme du Code du travail, apparait assez faible.

Le nouveau Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Jean-Jacques URVOAS, va devoir défendre le projet de révision constitutionnelle et préparer le projet de loi «renforçant la lutte contre le crime organisé» et la réforme de la procédure pénale. Mais, dans la mesure où il fait partie des proches de Manuel VALLS, il devrait rencontrer de réelles difficultés à mobiliser une majorité à l'Assemblée nationale sur certains projets de loi ou du moins à éviter que soient adoptés des amendements contre l'avis du gouvernement.