MOUVEMENT INITIATIVE ET LIBERTE

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VI­GILANCE & AC­TION - N° 420  JUIN 2021 


LES COMMUNICATIONS ÉCRITES DU M.I.L


LES 81 ANS DE L'APPEL DU 18 JUIN 1940 PAR LE GÉNÉRAL CHARLES DE GAULLE


Communication du MIL du 18 juin 2021


Comme chaque année, le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) commémorera l'appel lancé le 18 juin 1940 par le général de Gaulle. Cette année, nous célébreront les 81 ans de l'Appel.


Cette année sera aussi marquée par le 49ème anniversaire de l'érection de la Croix de Lorraine au Mémorial Charles de Gaulle à Colombey-les-Deux-Eglises. La Croix de Lorraine fut inaugurée par Georges POMPIDOU.


À cette occasion le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) rappelle les différents thèmes de campagne qu'il diffuse à cette occasion.


Par ailleurs, ses délégations départementales s'associeront, dans de très nombreux lieux, aux cérémonies officielles (par décret du 10 mars 2006) de commémoration de l'Appel du 18 juin 1940.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) se félicite et encourage toutes les cérémonies commémoratives de l'Appel du Général de Gaulle. Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) apporte son entier soutien à toutes ces initiatives.



LA FRANCE SOUTIENT SES FORCES DE L'ORDRE


Communication du MIL du 19 mai 2021


Repère : Depuis 2017, dans un contexte de montée de la violence urbaine, on assiste à une campagne orchestrée contre les forces de l'ordre par des groupuscules. Elle se trouve relayée et amplifiée par des politiques, des journalistes, des personnalités en tout genre, qui veulent relancer leur image déclinante.


Des violences se produisent trop régulièrement en France. Leurs auteurs sont notamment des délinquants (poursuivis et/ou déjà condamnés), des casseurs amateurs de bagarre (gilets jaunes), des militants ou syndicalistes d'ultra-gauche (black bloc), des islamistes (rêvant de djihad), des écologistes radicaux (à la recherche de ZAD). Les faits de violence se sont accumulés : piquets de grève, blocage de bâtiments ou de chaussées, bris de mobiliers publics, pillages de magasins, voitures incendiées, vandalisme sur des monuments, guet-apens de voitures de police, agressions et, maintenant, assassinats de policiers.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) apporte un total soutien de principe à tous les membres des forces de l'ordre ainsi qu'à l'institution (police nationale, gendarmerie, police municipale…). La mise en œuvre des forces de l'ordre relève d'une responsabilité politique : préfets, ministre de l'Intérieur, premier ministre ou président de la République. Sur le terrain, si des problèmes ponctuels peuvent se poser dans l'exercice des forces de l'ordre, ils ont vocation à être traités et réglés sans chasse aux sorcières. Mais des faits ponctuels (sans même savoir s'ils sont avérés) ne doivent servir de prétexte à des attaques violentes à l'égard des forces de l'ordre. De même, il faut que la justice sanctionne réellement, rapidement et que cela soit appliqué sans remise de peine automatique.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) considère qu'un climat entretenu par des associations, dédiées à la mise en cause des forces de l'ordre, des partis politiques de la gauche de la gauche et des discours de journalistes en relais incite à des délinquants à mener des actions individuelles contre la vie même de membres des forces de l'ordre. Nous dénonçons et condamnons le comportement de l'exécutif marqués par une trop longue période de silence, puis par des consignes inadaptées et permissives. Nous comprenons et partageons les réactions et nous soutenons les actions conduites par les policiers et les organisations syndicales de policiers.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) constate que la droite républicaine soutient clairement les membres des forces de l'ordre. Tandis que la majorité de Macron hésite et tergiverse en démontrant son incapacité à assurer la sécurité. Enfin, la gauche de la gauche (à quelques rares exceptions près) se positionne contre la police avec un discours «anti-flic», sous divers prétextes.


Dans la perspective des très probables tensions sociales à venir, liées à la crise économique et sociale qui monte, le maintien de l'ordre républicain va devenir un enjeu de premier plan en 2021 et en 2022.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) poursuit ses campagnes de soutien aux forces de l'ordre.



LA PERTINENCE DES PRINCIPES DU GAULLISME


Communication du MIL du 10 juin 2021


En premier lieu, le Gaullisme a marqué l'histoire de France au 20ème siècle en 1940, 1944, 1948, 1958 ou 1968. Il importe de s'en souvenir et d'en témoigner, pour transmettre les leçons de l'histoire aux nouvelles générations. En second lieu, en 2021, demeure l'esprit gaulliste. Il s'applique parfaitement aux enjeux actuels. La pertinence de ses principes fondamentaux reste toujours aussi forte sur l'ensemble des sujets actuels, quand on s'y attache.


Une approche politique globale. La première caractéristique de l'esprit gaulliste réside dans une approche politique globale sur les questions majeures au-dessus des partis, des syndicats, des communautés, des confessions, des lobbies, des sectes et de tous groupements d'intérêts.


L'indépendance de la France. Le refus de sa soumission à des organismes supranationaux, ou des puissances étrangères, étatiques, économiques et financières, ou des entreprises multinationales reste un élément fondamental de l'esprit gaulliste. Cette indépendance a été façonnée par son histoire. Elle doit être défendue dans tous les domaines que cela soit politique, économique, culturel, diplomatique et militaire. La tenue d'une ligne indépendante n'empêche pas, par ailleurs, d'avoir des alliés, en particulier des pays avec lesquels la France a noué des liens historiques étroits.


Le rassemblement de tous les Français. L'esprit gaulliste vise au rassemblement de tous les Français au-delà notamment des clivages politiques, syndicaux, locaux, religieux pour obtenir un dépassement et parvenir à rétablir la confiance de l'ensemble des citoyens vis-à-vis de leurs dirigeants politiques. Il existe aujourd'hui de profondes divisions entre les divers partis politiques ou écoles de pensée. Le projet politique consiste à rassembler les citoyens sur des grands projets au-delà des clivages partisans. Il impose de faire évoluer la manière même de faire de la politique. Le peuple de France aspire au rassemblement sur les grandes questions.


Un pouvoir exécutif fort et stable. L'esprit gaulliste va dans le sens de l'existence dans notre pays d'un pouvoir exécutif fort et stable. La constitution de la Ve République le permet. Elle donne au président de la République un rôle primordial sur les grands enjeux. Elle établit un lien direct entre le chef de l'État et le peuple. Grâce au suffrage universel direct pour l'élection présidentielle, et le recours possible au référendum, la Ve République permet à notre pays de pouvoir bénéficier des moyens d'une politique échappant pour l'essentiel aux pressions des partis, syndicats et autres groupes si les dirigeants politiques en font le choix. Mais la pratique de ces dernières années n'a pas été dans le sens des institutions et a conduit à une critique du système alors que la critique devrait porter sur des dirigeants politiques qui ont souhaité s'abstraire des institutions.


Une vision internationale en faveur de la liberté et de la paix. L'esprit gaulliste porte une vision internationale en faveur de la liberté, de la paix et de l'indépendance des peuples. Il affirme que la France participe à l'équilibre du Monde en raison de son histoire, de sa puissance et de sa grandeur. Il professe un refus viscéral des totalitarismes : Historiquement, le gaullisme s'est illustré par un refus des totalitarismes (communistes et nazis). L'esprit gaulliste conduit à un engagement, aujourd'hui, dans la lutte contre l'idéologie islamiste totalitaire.


Une défense globale de l'environnement. La défense de l'identité nationale, de notre langue, de notre patrimoine historique, de nos paysages et de notre milieu naturel nature (air, eau, faune et flore) constitue un ensemble nécessaire à la sauvegarde de notre environnement. La lutte pour limiter ou arrêter les migrations à nos frontières entre dans cette exigence.


Une exigence de justice sociale. L'esprit du gaullisme affirme la nécessité de la solidarité nationale conduite par l'État à destination des personnes les plus faibles, les plus pauvres et les plus en difficulté dans la société. L'attachement à un système de protection sociale mis en place après la Seconde Guerre mondiale par le général de Gaulle reste un marqueur de l'esprit gaulliste. L'objectif est d'atteindre le plein emploi et de développer une meilleure association capital-travail.


La défense de la famille, de la jeunesse et de l'éducation. La famille est considérée, dans l'esprit gaulliste, comme le noyau de la société, c'est pourquoi une politique nataliste reste une priorité pour maintenir et renouveler notre population. Le modèle familial reste composé d'une femme et d'un homme ayant des enfants qu'ils élèvent, au-delà de tous les accidents de la vie. De même, l'éducation nationale et l'enseignement supérieur se trouvent être le cœur de l'intervention de l'État vis-à-vis des familles et de la jeunesse. La transformation de l'éducation et de la formation s'impose pour répondre aux besoins du XXIe siècle. L'esprit gaulliste aspire à une réelle politique en faveur de l'engagement et de l'entrée dans la vie active de la jeunesse.


Une responsabilité de l'État dans le développement économique. L'esprit gaulliste affirme la responsabilité de l'État dans le développement économique et la sauvegarde de nos entreprises. Il appelle une politique volontariste menée par des plans de développement à divers niveaux pour porter de grands projets économiques (dans les domaines du nucléaire, du spatial, du médical, du numérique, etc.) qui dépassent le niveau et la capacité des entreprises privées. Cette action va de pair avec la défense de la libre entreprise en France. Il faut baisser les dépenses publiques de l'État et des collectivités publiques ainsi que les impôts et les taxes sur les particuliers et les entreprises afin de mieux gérer la France.


Un pragmatisme politique. L'esprit gaulliste ne s'inscrit pas dans une idéologie politique, mais est en opposition avec les idéologies anciennes comme actuelles. Il est caractérisé par le recours à un pragmatisme politique utilisé en vue d'atteindre les objectifs fixés, comme l'indépendance et le rayonnement de la France dans le monde et l'unité intérieure du pays. L'esprit gaulliste laisse le choix des modalités d'actions selon les circonstances. Il repose sur quelques grands principes, permettant la réalisation des objectifs.


Ce sont ces principes que le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) souhaite rappeler aujourd'hui.



QUI EST-IL VRAIMENT ? UN DÉ-CONSTRUCTEUR ? UN POST-NATIONAL ?


Communication du MIL du 7 juin 2021


Repère : «Le macronisme n'est pas une doctrine, c'est un opportunisme. Emmanuel Macron ne construit pas une vision du monde, mais un récit marketing, variable selon la tactique du moment. Au prétexte du «en même temps», il aura dit tout et son contraire sur tous les sujets pendant ce quinquennat.» François-Xavier Bellamy, député européen.


Par la politique menée concrètement depuis quatre ans (et aussi celle qui ne l'a pas été), Macron confirme sa position d'adversaire politique pour les gaullistes patriotes. Il a démarré sa campagne présidentielle de 2022. Il importe donc de savoir bien designer l'adversaire, c'est l'élément essentiel pour définir et affirmer un combat politique.


Pour décrire Macron, on se heurte à la difficulté de le faire en deux mots. Il en faut un peu plus pour cerner le personnage car il est complexe, intelligent dans une certaine mesure, égocentrique, prêt à prendre des risques, dépourvus de certaines expériences (politique, familiale ou professionnelle), sans conviction profonde et sans vision d'avenir. Pour se définir, depuis 2016, Macron a utilisé le terme de «progressiste». Il a abandonné le terme puis repris ponctuellement cette dénomination de gauche (par opposition au terme de «conservateur»).


Plusieurs termes définissent Macron.


1. Opportuniste : de 2016 à 2021, les positions politique de Macron ont évolué en France et à l'étranger (où elles sont souvent différentes). Macron n'a pas d'idéologie politique, il a juste un point de vue, changeant parfois, difficile à suivre à cause de son absence de convictions. Ainsi, depuis 2016, Macron a recours à la formule «en même temps» pour donner l'impression qu'une synthèse est possible entre des opinions contraires. C'est la raison pour laquelle il refuse d'arbitrer les conflits. Par exemple, cela a été le cas à propos de l'islamisme politique durant quatre années. Ce «en même temps» est un jeu de mots pour éluder les problèmes à résoudre et pour refuser de s'engager dans un quelconque affrontement. Il souhaite assumer une ligne floue ou «neutre» pour tenter d'éviter tous les conflits et toutes les attaques.


Cette ligne «neutre» explique pourquoi Macron, d'après de récents sondages, apparait comme bénéficiant d'un noyau électoral constitué par des membres des professions libérales, de cadres des secteurs publics et privés et d'intellectuels. Il est désigné, à tort ou à raison, comme le «candidat de la bourgeoisie» à laquelle il offre un projet neutre excluant tout affrontement social, ce qui rassure cet électorat.


2. Technocrate : Macron est issu de cette partie des membres de la haute-administration qui aspire à se passer des élus de la nation pour gérer directement le pays et/ou l'Union Européenne. Ainsi il a imposé, depuis 2017, le primat des technocrates sur les politiques (le Parlement a été mis en veilleuse), sur les partis (constitution de LREM comme un parti fantôme), vis-à-vis des corps intermédiaires (mise à l'écart des partenaires sociaux, réforme du CESE, etc.). Il a mis en scène une prétendue démocratie participative («Convention Citoyenne sur le Climat (CCC)» ou «les 35 citoyens sur les vaccins»). Il incarne un projet de dépassement des institutions nationales et des représentations de la Nation par les services de l'administration, car la pérennité des acteurs est assurée bien au-delà de celle des politiques. Par ailleurs, le rôle majeur accordé à la haute administration ne conduit pas à l'exercice efficace des fonctions régaliennes en France (défense, police, justice, diplomatie, éducation) car celles-ci sont du ressort d'un choix politique et non d'un choix administratif.  


3. Acteur et communicant : Par goût personnel, Macron est avant tout un acteur. Il a construit son image et son positionnement sur la communication orale et gestuelle et non sur des valeurs. Il dépend des textes qui lui sont écrit successivement par d'autres. Son réel talent d'interprétation est soutenu par une puissante force médiatique organisée autour de groupes de médias pro-gouvernementaux et de journalistes courtisans, d'une manière totalement amplifié par rapport à ce que la France a connu dans le passé. Ce potentiel est et reste dangereux.


4. Méprisant et suffisant : Dans des échanges à chaud, Macron a régulièrement utilisé des termes qui ont blessés (des ouvriers, des femmes, des chômeurs, des retraités, des jeunes) en réponse aux critiques qu'ils recevaient de personnes rencontrées. La répétition de ces formules blessantes traduit le fait qu'il n'apprécie pas les français ordinaires et qu'il n'a pour eux que du mépris. Il reste le président des «premiers de cordées» comme en 2017, mais pas celui des citoyens ordinaires.


5. Post-national : Macron ne défend pas la France, mais une analyse mondialiste et financière (et sa facette européenne fédéraliste). Le transfert des responsabilités décisionnelles aux institutions européennes ou internationales apparait sa priorité. Cela est le cas du plan de relance européen (2021-2026) toujours en attente de démarrage, ou bien le plan vaccinal européen connu pour ses déboires ou son projet de «défense européenne». Macron défend une pseudo «souveraineté européenne» qui est une simple illusion et non la souveraineté nationale. La raison est qu'il considère que nous sommes entrés dans une situation «post nationale» qui ne repose plus sur l'identité française.


Dans ce cadre post-national, le concept de nation est considéré comme dépassé. Il doit être remplacé par des «valeurs partagées» générales qui n'ont plus de frontières. L'État-nation laisserait la place à un État post-national sans identité propre. Il ne se situe pas dans le cadre d'un internationalisme politique (libéral, fasciste, socialiste ou communiste) mais dans le contexte des intérêts mouvants des institutions internationales (ONU, OMS, etc.) et de diverses sociétés multinationales. Tout cela primant toujours sur les intérêts des Nations.


6. Dé-constructeur : Enfin, Macron s'affiche volontairement comme un «dé-constructeur» (selon un concept philosophique vaseux). Sur ce principe, il met en cause la politique, l'histoire de France (suppression des grands corps de l'État, reconnaissance du «privilège blanc», indépendance algérienne, retour sur l'esclavage, génocide au Rwanda). Au final, tout cela aboutit à une stratégie de démolition de l'État et de déconstruction de la France.


En résumé, la vision de Macron apparait s'appuyer sur une haute administration, conduisant seule le pays, dans une phase post-nationale (et post-démocratique) inscrite dans un contexte mondialisé.


Tout cela ne répond pas aux souhaits et attentes des citoyens Français.


D'autres qualificatifs concernant Macron doivent être écartés comme le terme de «libéral». Par exemple, la politique définie par Macron face à la crise sanitaire de 2020 illustre une politique totalement étatiste et dirigiste et en aucun cas libérale. Elle a été marquée par une suite de retards et de dysfonctionnements aboutissant à une faible efficacité globale. Certes, Macron est traité d'ultra-libéral par les responsables de la gauche de la gauche, mais cette accusation ne correspond pas à la réalité.


L'environnement de Macron mérite aussi d'être précisé, car cela constitue le «macronisme» avec tous ses élus qui ne sont pas toujours en accord avec lui.


1. La République En Marche (LREM) a été construite volontairement comme un parti fantôme, sans présence réelle sur le terrain. La désertion d'une part importante des élus à fait perdre la majorité LREM à l'Assemblée Nationale. Il en va de même pour la désertion des conseillers à la présidence. Les choix de ressources humaines de Macron ont été souvent malheureux.


2. Les élus de la majorité macroniste sont très majoritairement de gauche. Les anciens membres du PS contrôlent toujours les groupes parlementaires et le parti politique fantôme. La majorité politique de Macron relève toujours d'une gauche sociale-démocrate (strauss-kahnienne) et d'un allié de centre-gauche (le MoDem) qui n'a pas été récompensé de son apport électoral. Cette majorité de gauche se trouve en décalage avec l'électorat censé soutenir Macron d'après les sondages.


Le Mouvement Initiative et Liberté (MIL) continuera à mener campagne contre la candidature de Macron à la prochaine élection présidentielle. D'une part, il faut expliquer qui il est dans toute sa complexité, d'autre part, il faut présenter son bilan sans fioriture et enfin il faut estimer tous les dangers d'un second mandat pour la France.


L'enjeu prioritaire du Mouvement Initiative et Liberté (MIL) consiste à faire comprendre à l'électorat traditionnel de droite la nature exacte de Macron en analysant et en rappelant, jour après jour, ses propos et la réalité de son action. Dans la dernière ligne droite, il sera temps de définir qui, dans notre famille politique, est en capacité de défendre nos valeurs gaullistes patriotiques, capable de gouverner la France et pouvant rassembler pour gagner.